Une activité sexuelle en berne, des troubles de la libido et de l’érection seraient liés à un risque plus élevé de développer une maladie longue durée de type cardiovasculaire ou même de cancer.

Voilà une prescription qui devrait en réjouir plus d’un(e)s. Pour réduire le risque de développer des maladies cardiovasculaires ou encore un cancer, une étude préconise de maintenir une activité sexuelle active. “Le but de notre recherche, expliquent les chercheurs étaient de comprendre pourquoi l’espérance de vie augmente, mais le temps passé en bonne santé diminue.” Et parmi les facteurs, les scientifiques ont particulièrement noté, une baisse du niveau de bonne santé lié à une réduction de l’activité sexuelle. Un signal d’alarme à prendre en comptePour cette étude, les chercheurs ont collecté les données personnelles de 2 577 hommes et 3 195 femmes âgées de plus de 50 ans. Parmi les points étudiés : le changement de désir, la capacité à avoir une

érection, le diagnostic de maladies de longue durée type cancer,

maladies cardio-vasculaires sur une durée de 4 ans. Après avoir comparé tous ces points, les chercheurs expliquent avoir noté que les hommes ayant déclaré un déclin au niveau de leur libido étaient parmi ceux qui avaient le plus de risques de développer des maladies de longue durée par rapport à ceux qui avaient une activité sexuelle plus intense. Pareil chez ceux dont la fréquence des rapports sexuels étaient moins régulière que les autres et ceux qui sont victimes de troubles de l’érection. Plus d’études vont maintenant se poursuivre afin de définir et confirmer un lien de cause à effet ou non et si oui, comment il agit. En attendant pour le groupe d’étude, une baisse du niveau d’activité sexuelle passé 50 ans, devrait pousser les médecins à être vigilants sur le risque de détérioration de la santé de leur patient ainsi que la prévalence à développer une maladie longue durée.Click Here: Putters