Nathalie Kosciusko-Morizet aurait reçu des « SMS très explicites » de la part d’élus parlementaires qui lui proposaient des “petits dîners en tête-à-tête” en échange de leur parrainage pour la primaire de droite.
En mars dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet annonçait qu’elle se portait candidate à la primaire des Républicains dans le journal télévisé de 20 heures sur TF1. Quelques jours plus tard, l’ex-ministre de l’Ecologie se confiait sur sa vie sentimentale dans les colonnes du magazine Elle et révélait, avec une certaine pudeur, avoir divorcé de Jean-Pierre Philippe, avec qui elle était mariée depuis douze ans: « J’ai divorcé il y a trois jours, je viens d’enlever mon alliance… » Une première pour cette mère de deux enfants, Paul-Elie, 10 ans et Louis-Abel, 6 ans, qui s’exprime très rarement sur sa vie privée. Et il semblerait aujourd’hui que cette révélation ne soit pas passée inaperçue.
La semaine dernière, Nathalie Kosciusko-Morizet a fait savoir qu’elle avait recueilli les 250 parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire de droite. Mais d’après Le Parisien, la quadragénaire aurait également reçu des « SMS très explicites » de la part d’élus qui lui proposaient “des petits dîners en tête-à-tête en échange de leurs soutiens”. Des propositions très déplacées, qu’elle a bien évidemment « déclinées illico ». En tout cas, le sexisme semble toujours très présent dans la classe politique. Anne Hidalgo, Marisol Touraine, NKM… Les politiciennes en font elles aussi les frais au travail.
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